L’isolement nous conduit à notre perte.
Le Maire de Barjac a choisi, délibérément, en justifiant sa décision par une présentation partisane aux habitants de Barjac, de ne pas adhérer à une communauté de communes. Nous avons été quelques-uns, à l'époque, à nous laisser manipuler et sincèrement, avec le recul, nous le regrettons.
Pourquoi ?
La conséquence la plus visible, est la disparition de la perception. En effet, si nous n'oublions pas que la politique de l'état est de restructurer et donc de diminuer le nombre des perceptions sur le territoire, il faut bien constater que le Maire de Barjac a donné un sérieux coup de pouce à cette manœuvre.
La Communauté de commune « Pays de Cèze » (St Privat de Champclos, Méjannes le Clap, Tharaux, Rivières, Les Fumades, Potelières, St Victor et St Denis) a choisi comme centre administratif Allègre Les Fumades en l'absence de l'intégration de Barjac. Allègre les Fumades a toujours été tourné vers St Ambroix ; ville elle-même en communauté de communes. Lorsque l'état s'est attaqué aux perceptions (ce n'est pas nouveau mais jusqu'ici les maires de Barjac qui ont précédé M.Chaulet avait réussi à garder la leur), tout naturellement le choix s'est porté sur celle de St Ambroix pour couvrir les deux communautés de communes.
Barjac commune « orpheline » (c'est ainsi que l'on nomme les communes non intégrées à une communauté - il faudrait plutôt dire la commune puisqu'il n'y en a plus qu'une dans le Gard) s'est vu rattachée à la perception de St Ambroix ; la sienne n'ayant plus qu'un seul village à gérer, sa mort était inéluctable.
Le Maire de Barjac pouvait toujours par la suite essayer de corriger cette erreur en manifestant contre les décisions de l'état et en se faisant le chantre de la défense du service public, il avait été lui-même l'artisan de cette perte pour le village de Barjac. Perte peut être très gênante pour lui, car les comptes de la commune ne sont plus contrôlés à Barjac mais à St Ambroix ... .
Il est probable que si Barjac avait fait partie intégrante de la Communauté de commune « Pays de Cèze », sa perception aurait été maintenue et, de ce fait, pris beaucoup plus d'importance.
A ce propos, nous nous étonnons que personne ne réclame (à notre connaissance) la mise en place de permanences tournantes dans chaque village du canton. En ce qui nous concerne, c'est le service (au) public qui est important. Il serait souhaitable que périodiquement des fonctionnaires viennent au devant des administrés. Mesdames et messieurs les Maires, intervenez dans ce sens auprès de l'administration. Les personnes âgées, celles qui ne peuvent se déplacer par manque de moyens physiques ou autres, vous en seraient probablement très reconnaissantes.
Pourquoi ?
La conséquence la plus visible, est la disparition de la perception. En effet, si nous n'oublions pas que la politique de l'état est de restructurer et donc de diminuer le nombre des perceptions sur le territoire, il faut bien constater que le Maire de Barjac a donné un sérieux coup de pouce à cette manœuvre.
La Communauté de commune « Pays de Cèze » (St Privat de Champclos, Méjannes le Clap, Tharaux, Rivières, Les Fumades, Potelières, St Victor et St Denis) a choisi comme centre administratif Allègre Les Fumades en l'absence de l'intégration de Barjac. Allègre les Fumades a toujours été tourné vers St Ambroix ; ville elle-même en communauté de communes. Lorsque l'état s'est attaqué aux perceptions (ce n'est pas nouveau mais jusqu'ici les maires de Barjac qui ont précédé M.Chaulet avait réussi à garder la leur), tout naturellement le choix s'est porté sur celle de St Ambroix pour couvrir les deux communautés de communes.
Barjac commune « orpheline » (c'est ainsi que l'on nomme les communes non intégrées à une communauté - il faudrait plutôt dire la commune puisqu'il n'y en a plus qu'une dans le Gard) s'est vu rattachée à la perception de St Ambroix ; la sienne n'ayant plus qu'un seul village à gérer, sa mort était inéluctable.
Le Maire de Barjac pouvait toujours par la suite essayer de corriger cette erreur en manifestant contre les décisions de l'état et en se faisant le chantre de la défense du service public, il avait été lui-même l'artisan de cette perte pour le village de Barjac. Perte peut être très gênante pour lui, car les comptes de la commune ne sont plus contrôlés à Barjac mais à St Ambroix ... .
Il est probable que si Barjac avait fait partie intégrante de la Communauté de commune « Pays de Cèze », sa perception aurait été maintenue et, de ce fait, pris beaucoup plus d'importance.
A ce propos, nous nous étonnons que personne ne réclame (à notre connaissance) la mise en place de permanences tournantes dans chaque village du canton. En ce qui nous concerne, c'est le service (au) public qui est important. Il serait souhaitable que périodiquement des fonctionnaires viennent au devant des administrés. Mesdames et messieurs les Maires, intervenez dans ce sens auprès de l'administration. Les personnes âgées, celles qui ne peuvent se déplacer par manque de moyens physiques ou autres, vous en seraient probablement très reconnaissantes.
A suivre ...